samedi 5 juillet 2014

Transhumance (3) Projet École d'Art - Prisunic Monoprix



Pascaline Pouilly grave entre deux, états des lieux avec la lumière vive de 
l'obscurité  du dedans dehors.  Être dedans et vouloir sortir le dessin de la 
gravure, du noir de l'encre, essuyer pour l'image.
Elle ne voit rien, elle cherche la lumière  pour sortir de soi afin de décrocher un ailleurs
du lieux. 
Changer d'obscurité , tag, recouvrement, images oubliées, jetées parfois à 
terre, juste ramassée pour montrer.
Pascaline  révèle le blanc de la lumière  pour respirer en dehors du noir de la 
plaque,  pour chercher une porte de sortie comme pour entrer dans le cotė sombre 
du sujet. 
Elle travaille de nuit, dans le clair de lune, le ciel clair mais sombre, les étoiles se reflétant sur le sol. L'une lourde, rousse, rouge du levée du matin.
Cadres composés par les toits, attirė par les moments intimes des lumières vives 
renforcées par la pluie, brillante, givrée, étoiles  se reflétant sur les 
carrosseries des voitures.
Les lieux de l'école d'art, future et ancienne sont le reflet de ce qu'elle aime. Elle cherche  le bien-être  pour ne penser à rien d'autre que de renaître 
même dans les détritus , même dans le sombre.
Elle entre dans l'obscur pour sortir dans la lumière, contraste du visible et de 
l'imaginaire.
Xavier Hennicaux









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